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Chronologies rémoises

 

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Les maires de Reims

Les sacres à Reims

La presse locale d'hier à aujourd'hui

La presse rémoise d'hier et d'aujourd'hui

Bien que les Marnais soient parmi les Français les plus alphabétisés à la fin du XVIIIe siècle, le développement de la presse n'a pas été fulgurant dans ce département. La proximité de Paris, la prédominance traditionnelle en Champagne de l'imprimerie de Troyes, le choix de Châlons-en-Champagne comme chef-lieu lors de la formation du département en 1790 au détriment de Reims (plus peuplée et économiquement plus prospère) semblent avoir bridé le développement et la prospérité de la presse locale. C’est en 1772 que parait à Reims les Affiches, annonces et avis divers de Reims et de la Généralité de Champagne, premier journal d’informations locales du département.

Si les journaux d'annonces, bulletins de comices agricoles et feuilles viticoles ont une vie longue et prospère, la presse politique peine à éclore. En effet, les différentes taxes imposées jusqu’en 1881 renchérissent le prix de vente et la surveillance des autorités administratives et judiciaires limitent son expansion. La révolution de 1848 libère véritablement la presse politique dans toute la France. A Reims, la naissance de L’Association Rémoise (1849) ou le changement de nom de L’Industriel de la Champagne en L’Industriel républicain de la Champagne en 1849 en sont de parfaits exemples. Mais la reprise en main de la France par le Second Empire en 1852 signe un coup d’arrêt à cet essor. Pour survivre, les titres existants s'imposent le conformisme qui est de rigueur.

La libéralisation du régime de la presse (loi du 11 mai 1868) suivie de la proclamation de la Troisième République (4 septembre 1870) et de l'avènement de la liberté de la presse (loi du 29 juillet 1881) donnent le signal d'un essor sans précédent. À la veille de la Grande Guerre, ce sont près de 50 titres qui sont édités à Reims. Les journaux républicains radicaux et anticléricaux dominent le paysage de la presse locale. C’est le cas de L’Indépendant rémois qui imprime près de 7 000 exemplaires ou du Progrès de l'Est qui imprime près de 10 000 exemplaires.

La période 1914-1918 se montre une période particulièrement dramatique pour les presses rémoises : située en zone de combats, Reims est touchée par de nombreux tirs d’artilleries détruisant la ville à 60% et contraignant plusieurs titres à interrompre leur publication.
La renaissance de la presse dans l'entre-deux-guerres s'opère sur de nouvelles bases. Comme dans le reste du pays, on assiste à une montée en puissance de la presse militante (ouvrière, syndicale, socialiste ou communiste), et une concentration des titres. En 1939, le marché régional est largement dominé par L’Eclaireur de l’Est qui diffuse à 106 000 exemplaires, étant ainsi le 18e quotidien régional le plus vendu sur le territoire français.

La défaite de 1940 et l'Occupation marquent un nouveau et brutal coup d'arrêt, à l'issue duquel une presse renouvelée de fond en comble voit le jour. Ainsi, L’Union, organe du Comité départemental de Libération, est créé et reprend les locaux et la clientèle de L’Eclaireur de l’Est, quotidien collaborationniste.

 

 

Source : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale : des origines à 1944. 51, Marne (CH M 3118) et presselocaleancienne.bnf.fr

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Les sacres à Reims

La bibliothèque Carnegie conserve de nombreux documents concernant les sacres des rois de France. En effet, Reims doit une part non négligeable de son prestige au déroulement de ces cérémonies pendant lesquelles les souverains faisaient le serment de régner selon la justice, de protéger leurs peuples et de soutenir leur religion, en échange de l’onction divine qui confirmait leur pouvoir.
La ville gagne progressivement son statut de cité des sacres, notamment par la légende de la Sainte Ampoule1 diffusée dès le IXe siècle par l’archevêque Hincmar, puis grâce au Pape Innocent II qui la reconnaît comme lieu officiel du sacre des rois de France en 1131.
C’est ainsi que durant dix siècles, de Louis Ier le Pieux en 816 à Charles X en 1825, trente-trois rois se sont fait sacrer dans la cité rémoise.

 
1. Sainte Ampoule et saint chrême
Fiole contenant le saint chrême apportée par une colombe envoyée par Dieu à saint Remi pour oindre Clovis lors de son baptême à la fin du Ve siècle. Après la découverte d’une ampoule d’aromates dans la tombe de saint Remi, l’archevêque Hincmar popularise la légende en se basant sur plusieurs traditions rémoises. L’ampoule est authentifiée par le Pape Innocent II en 1131 et est conservée à l’abbaye Saint-Remi jusqu’à la Révolution française.
 

 

Source : Le sacre du roi : histoire, symbolique, cérémonial / Patrick Demouy (DRG 254)

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Les maires de Reims

Par ordonnance royale de 1317, la ville de Reims est dirigée par un Capitaine de Ville et en 1368, par un Lieutenant, qui préside le Conseil de Ville. Par procès-verbal du 5 mars 1449 et lettres patentes de mai 1465, il est décidé que le Lieutenant serait élu par les habitants.

Le 22 décembre 1789, la France se divise en départements, districts, cantons et, dans chaque bourg, une municipalité est créée. Ainsi, à partir de 1790, le maire administre la commune.

 

 

Source : Les maires de la Ville de Reims : des origines à nos jours / Janine Lefevre et Christophe Capet, Service Documentation Reims Métropole (DRBG 187)

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