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Découvrez les archives des Critiques Polar

Critiques

La neuvième tombe

Stefan Ahnhem

Roman

Audrey a aimé :

Enquête croisée au Danemark et en Suède, Stefan Ahnem nous entraîne tambour battant dans une affaire de meurtres en série toute scandinave. Fabien Risk, inspecteur suédois, part sur les traces du ministre de la justice mystérieusement disparu. Il finit par le retrouver mort et sauvagement mutilé. Dunja Hougaard, inspectrice danoise, se penche sur le viol et le meurtre sanglant de l’épouse d’un animateur télé. D’autres cadavres sont découverts de part et d’autre de la frontière. Les deux enquêteurs empêtrés dans leurs problèmes personnels se livrent à une traque sans merci pour démasquer le coupable. Ils rouvrent des dossiers classés et frôlent la mort. De facture classique, ce polar brille néanmoins par son efficacité, ses dialogues teintés d’humour et sa galerie de personnages attachants.

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Critiques

Le coeur et la chair

Ambrose Parry

Roman

Isabelle a aimé :

Edimbourg, 1847.

Will Raven découvre à l’aube le corps de son amie Evie, prostituée, à qui il avait prêté de l’argent. Affolé, il s’enfuit de peur d’être accusé du meurtre.

Devenu assistant du Professeur Simpson renommé pour ses recherches sur l’anesthésie, il sillonne la ville avec lui pour aider les femmes à enfanter. Plusieurs cadavres de femmes dont celui d’Evie sont bientôt découverts dans toute la ville. Le sort de ces femmes indigentes ou prostituées ne préoccupe guère la police. Will et Sarah, femme de chambre et assistante du professeur, décident d’unir leurs forces pour mener l’enquête.

Enfin un roman de l’époque victorienne qui se passe à Edimbourg plutôt qu’à Londres ! L’intrigue nous promène dans toute la ville, des quartiers pauvres de l’Old Town aux maisons cossues de la New Town. Les personnages principaux ne sont pas lisses : Will cache à son mentor ses relations douteuses avec un malfrat. Sarah, au caractère bien trempé, affiche une autorité et une opiniâtreté bien loin de la soumission que la société écossaise attend d’elle. Elle n’aura de cesse de réaliser son rêve : avoir le droit d’étudier la médecine au même titre que les hommes. On découvre au fil des pages les avancées médicales de l’époque, en particulier sur l’usage des anesthésiants en obstétrique.

Derrière le nom de plume Ambrose Parry (en hommage au chirurgien célèbre Ambroise Paré) se cache un duo écossais : Chris Brookmore, écrivain et son épouse Marisa Haetzman, médecin anesthésiste. Ensemble, ils ont donné vie au vrai Professeur James Young Simpson, qui a popularisé l’usage du chloroforme pour alléger la douleur des femmes lors de l’accouchement. Il n’hésitait pas à tester sur lui-même et ses proches les effets de ces anesthésiants !

Le 2nd volet de la série, L’art de mourir est sorti en 2020.

 

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Critiques

La loterie et autres contes noirs

Shirley Jackson

Nouvelles

Florian a aimé :

« Ayant lu [La loterie] en prenant mon bain (…), j’ai dû résister à la forte tentation de me laisser couler la tête sous l’eau afin d’en finir une fois pour toutes ».
Le 26 juin 1948, la nouvelle La loterie est publiée dans le New-Yorker : Stupéfaction chez les lecteurs, courriers à la rédaction, résiliation d’abonnement...
L’onde de choc émotionnelle est puissante, générant après son passage étonnement, opprobre, panique, demande d’informations sur les lieux et l’époque du récit.

Shirley Jackson, méconnue la veille, réussit à force de touches impressionnistes à révéler la possibilité du mal (pour reprendre le titre de l’un des contes noirs du recueil) au plus profond de la banalité, au cœur du quotidien tranquille de la plus tranquille des bourgades américaines. Rassemblés autour d’une intrigante boite noire, les villageois vont procéder à un tirage au sort.
Shirley Jackson n’a pas besoin de s’appesantir sur les motifs de ce prélude à la sauvagerie pour faire naître la sensation d’un désastre imminent. Dans un style épuré, elle relate la transformation d’un rassemblement rural et bucolique en boucherie sanguinolente. Que feraient notre famille, nos amis si la société et ses coutume exigeaient qu’ils se retournent contre nous ?

Les douze autres nouvelles du recueil portent aussi en elles cette inquiétante étrangeté, une légère touche d’amertume qui laisse au lecteur l’indice de la bascule prochaine vers une noirceur insoupçonnée. La nouvelle accouche d’un retournement sanglant.

La loterie  a par ailleurs été mis en images par le génial illustrateur, Miles Hyman, petit-fils de Shirley, dans une bande dessinée au graphisme splendide; c'est lui qui a également réalisé le dessin de couverture du recueil.

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Critiques

de loin on dirait des mouches

Gray

Léonie Swann

Roman

Eléonore a aimé :

Un étudiant de Cambridge est retrouvé mort après avoir sauté d’un toit. Accident, suicide ou crime ?
Connaissant son protégé, Augustus Huff, docteur à l’université de Cambridge, pense tout de suite à un crime et décide de mener seul l’enquête. Enfin, pas tout à fait seul puisqu’il se fait aider par Gray, le perroquet dont il est devenu spontanément le propriétaire suite à la mort de son étudiant.
Une enquête qui n’était pas gagnée d’avance, sans organisation, ponctuée de maladresses. L’envie nous démange de bousculer « Huff ». Nouvelles pistes identifiées, puis abandonnées… On se demande si Huff et Gray vont parvenir à leur fin.
Il faut attendre un certain temps avant que les choses ne se mettent en place. Drôle de casting avec des professeurs tous un peu suspects, un couple de détective un peu loufoque avec ce perroquet caractériel et mélomane et Huff, tuteur doté de multiples tocs, mais au fil de l’eau on s’attache finalement à leur duo improbable. Les scènes sur les toits des bâtiments de Cambridge donnent envie de s’y trouver à son tour, au petit jour… On se plaît à rêver à toucher le ciel nous aussi…

 

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Critiques

de loin on dirait des mouches

L'affaire de l'homme à l'escarpin: une enquête de Victor Dauterive

Jean-Christophe Portes

Roman

Isabelle a aimé :

En rupture avec un père tyrannique, Victor Dauterive, jeune sous-lieutenant de la gendarmerie se retrouve à Paris sous la protection du Marquis de La Fayette. Un cadavre est retrouvé nu dans la Seine juste chaussé d’une paire d’escarpins.

L’enquête mène Victor à la fois dans les bas-fonds parisiens et dans les hautes sphères du pouvoir où les intrigues vont bon train après la fuite du roi à Varennes. On suit les manigances du club des Cordeliers, des Jacobins, le Parti d’Orléans pour profiter de la trahison du roi.

Cette 2ème aventure de Victor Dauterive, est solidement documentée. L'auteur sait de quoi il parle et cite en fin d'ouvrage, la bibliographie dont il s'est inspiré. Le style est enlevé et on ne s'ennuie pas une seconde. Dans ce roman foisonnant, on croise les grandes figures de la Révolution Française, Danton, Choderlos de Laclos, Brissot, Marat, Robespierre, Olympe de Gouges…L’atmosphère parisienne est bouillonnante : le peuple de Paris est en effervescence, les pauvres bougres soumis à la vindicte populaire sont pendus à la lanterne, la pauvreté et la crasse côtoient l'espoir formidable d’une société plus égalitaire.

A la fin de ma lecture, j'ai eu envie d'en savoir plus sur le rôle politique de Choderlos de Laclos et de lire une biographie sur la fascinante Olympe de Gouges. Cet ouvrage est à la fois un roman policier, un roman historique et un formidable documentaire sur l'histoire de Paris sous la Révolution.

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Critiques

Ses yeux bleus

Lisa Hagensen

Roman

Audrey a aimé :

Raili, bibliothécaire épuisée par un printemps laborieux, décide de passer des vacances d’été dans son petit chalet au nord du Bohuslän en Suède. A proximité d’un lac et d’une forêt, l’endroit respire la nature. Ses voisins, un charmant couple de retraités, aiment l’accueillir autour d’un café ou d’un plat tendrement mijoté. Derrière ce calme apparent, une ombre maléfique rôde. Olafsson, un vieux garçon bourru mais sympathique est retrouvé mort. Raili qui ne croit pas dans la thèse de l’accident mène l’enquête. Elle a tout d’une parfaite fouineuse et finit par déterrer de sombres histoires de sorcellerie. Le résultat nous donne un roman détonant, un croisement entre Agatha Raisin et Stephen King.

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Critiques

Ed Kemper, dans la peau d'un serial killer

Thomas Mosdi - David Jouvent

Bande-dessinée

Eléonore a aimé :

Cette bande-dessinée retrace la vie d’Ed Kemper, premier tueur en série identifié en tant que tel dans l’Amérique des années 70.

Quand on sait que ce serial killer surnommé « L’Ogre de Santa Cruz » a inspiré le personnage d’Hannibal Lecter dans le Silence des agneaux, on plonge dans cette BD avec un peu d’appréhension : que ce soit en terme de contenu (sur quelles horreurs va-t-on tomber ?) ou de dessin (comment le dessinateur va-t-il traiter ces scènes ?).

Malgré l’horreur des crimes (il a tué 8 personnes dont ses grands-parents et sa mère), le sujet est finalement traité avec beaucoup de finesse au niveau du dessin. Les scènes de violence, et notamment de cannibalisme, sont plutôt suggérées.

Le scenario de son côté nous fait vraiment entrer dans l’esprit du tueur de façon progressive. On comprend, étape par étape, les violences morales et physiques subies et son lent cheminement vers le crime en série. Le profil psychologique d’Ed Kemper est très bien brossé par Thomas Mosdi.

L’ouvrage donne vraiment envie de se documenter sur Ed Kemper et d’en savoir plus sur le sujet du crime en série.

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Critiques

de loin on dirait des mouches

L'attaque du Calcutta-Darjeeling

Abir Mukherjee

Roman

Isabelle a aimé :

Avril 1919, Calcutta.

Sam Wyndham, ancien de Scotland Yard a tout perdu pendant la 1ère Guerre Mondiale, ses amis, sa femme et presque sa raison. Une mission à Calcutta lui apparait comme un nouveau départ.

Dès son arrivée, il est confronté au meurtre d'un haut fonctionnaire britannique que les autorités locales veulent trop vite attribuer à des terroristes indiens. Épaulé par le lieutenant Digby et le sergent Banerjee, issu de l'élite indienne, il lutte contre l'armée et les services du vice-gouverneur qui veulent pendre un coupable forcément indien afin de tuer dans l'œuf la révolte populaire contre l'impérialisme anglais.

L'histoire débute trois jours avant le massacre de l'Amritsar où l'armée britannique a ouvert le feu sur une foule pacifiste qui a fait des centaines de morts. Ce sont les prémices du mouvement non violent contre la présence britannique en Inde à laquelle nous assistons.

Abir Mukherjee rend à la perfection l’atmosphère moite et lourde du climat indien, l'arrogance colonialiste britannique face à un peuple indien qu'elle méprise, l'ambiance chatoyante de la ville de Calcutta. Les deux principaux personnages sont admirablement campés: Sam Wyndham, opiniâtre et opiomane à ses heures, et Sat Banerjee, intelligent et déchiré entre deux cultures et deux modèles de société.

A la fin de ma lecture, j'avais hâte que Liana Levi traduise et édite les trois aventures suivantes de ce duo anglo-indien.

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