Un visa ou la mort

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Constantin Simon

152… c’est le nombre d’interprètes afghans qui se retrouvent aujourd’hui abandonnés après avoir travaillé pour l’armée française pendant la guerre, de 2001 à 2014. Accusés d’avoir collaboré avec l’ « ennemi », ces hommes sont constamment menacés dans leur pays. Leur vie en est devenue impossible. Ils changent de maison tous les 6 mois, sont rejetés par leurs familles et peuvent à peine sortir de peur d’être repérés par les talibans et l’Etat Islamique qui veulent les décapiter pour trahison. Aujourd’hui, ces traducteurs ne demandent qu’une chose : un visa pour la France… pour pouvoir vivre en sécurité. Au total, seulement 100 des 252 anciens interprètes afghans ont obtenu gain de cause. Notre journaliste est parti à la rencontre de ceux qui continuent de se battre pour être rapatriés.

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